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Prof. Univ. Dr. Constantin FROSIN

= Professeur d’Université =

Adresse :
    187 rue de Traian, Code postal 800150
    Galati – 6200, Roumanie
Téléphone : (0040) – 236 / 410917
Portable : (0040) - 743 / 279607
Courriel : nisorf@hotmail.com




          Constantin FROSIN - Professeur d’Université 

Constantin FROSIN - Biographie générale
Constantin FROSIN - Ecrivain
Constantin FROSIN - Professeur d’Université 
Constantin FROSIN - Traducteur
Constantin FROSIN - Publiciste Francophone
Constantin FROSIN - Contact































Constantin FROSIN, Professeur d’Université

       La principale profession de Constantin FROSIN (en plus de sa profession de foi...), est celle de professeur. Il l’a pratiquée 8 ans durant, dans un lycée, ensuite pendant 9 ans près une Université d’Etat, et, à partir de 2000, près une Université privée: l’Université <Danubius> de Galaţi.
       On va donner la parole à ceux qui sont en droit de l’apprécier, sans tenir compte des opinions nullement avisées de ceux qui ou ne le comprennent ou n’apprécient guère la multitude de ses preoccupations, lesquelles s’intègrent, à plus forte raison, parfaitement, à la noble profession de professeur.

       Encore étudiant, il a participé à un concours pour l’obtention d’une bourse d’études de 4 ans à la Sorbonnne, laquelle lui fut pourtant refusée pour deux raisons (qui n’avaient rien à voir avec la Raison!): il ne remplissait aucune fonction dans le cadre de la CUASCR Bucarest et, en plus, péché capital ! il n’était pas membre du Parti (à 22 ani !). Certes, la bourse respective a été obtenue par le neveu d’un membre marquant du Comité Central du Parti Communiste Roumain, mais Nomina odiosa...

       Voilà, pour continuer, le texte de cette recommandation, qui a marqué le parcours intellectuel et la carrière universitaire de C. F. : „ Je soussigné Claude LUMEDILUNA, Lecteur de français à la Faculté des Lettres de Bucarest, atteste que l’étudiant Frosin Constantin de II e année, groupe 610, qui a suivi mon cours spécial de stylistique, me paraît apte à présenter avec de grandes chances de succès, notamment par ses capacités dans l’expression orale, le concours pour l’obtention d’une Bourse d’études en France”.

       Sa Thèse de licence a été appréciée de la note maximale: 10 (dix) et soldée par sa publication dans le fameux Buletin al Cercurilor ştiinţifice Studenţeşti din România (1977) – seule thèse de licence publiée sur toute son année d’études... Nonobstant ce, bien que voulu tant par la Chaire de Littérature que celle de Langue, il n’a pas pu être gardé comme Maître Assistant, puisque, l’année même où il a terminé son cycle d’études, un malheureux Décret 51 (sau 53 ?!), qui obligeait les frais émolus des facs, indépendamment de leur valeur, de se présenter au poste qui leur avait échu lors des fameuses Répartitions nationales, et d’y rester pendant au moins trois ans.

       Il a obtenu le titre de Docteur en Philologie avec une Thèse intitulée: <Schimbarea limbii, schimbarea scriiturii ?/ Changement de langue ne signifie pas changement d’écriture ?>coordonnée par le Président de l’Académie Roumaine, professeur d’Université Eugen SIMION, qui, pour une fois, a fait une exception et, bien qu’il eût combattu sur tous les fronts les distinctions (qu’il trouvait pompeuses) genre Cum Laudae etc.,il a fini par consentir à lui accorder le qualificatif Très Bien, et la distinction Magna cum Laudae. Le thèse respective a été publiée par les Editions Eminescu en 2000 et a joui des appréciations unanimes des spécialistes et de la presse littéraire.

       Nous préférons, cependant, donner la parole à ceux qui peuvent (du moins sont en droit d’) apprécier comme il se doit – c’est-à-dire, très correctement – le Professeur d’Université Constantin FROSIN:
       En 2004, Madame Françoise WUILMART, Directrice du Centre Européen de Traduction Littéraire, affirmait: «  (…) J’ai en effet pu me rendre compte des compétences de Monsieur Constantin FROSIN en matière de traduction et, plus généralement, en langue et culture française. La revue GRAI dédiée à la Traduction, qu’il a personnellement coordonnée, m’a persuadée de ses dons et de ses talents en la matière, mais aussi du sérieux de ses entreprises et de la qualité de ses performances. » (Selon toute probabilité, l’élection de C. F. comme Président d’Honneur de l’Association des Traducteurs Professionnels, ne fut pas le fruit du hasard, tant s’en faut !…)

       En février 2003, Madame Catherine BANKHEAD, Directrice de la revue Art et Poésie de Touraine, brossait un portrait bien flatteur de C. F. :« J’aime la Roumanie, profondément. Je suis donc très émue d’avoir à vous présenter un ami roumain, particulièrement estimé dans le monde français des revues littéraires, mais aussi par ses pairs professeurs, penseurs et poètes. Je crois en Constantin FROSIN – c’est que, dans l’espace de la Francophonie, il est un véritable ambassadeur des Lettres roumaines. Défenseur des plus hautes valeurs contemporaines, ce patrimoine que nous nous devons de transmettre à nos descendants, je le considère personnellement comme un bâtisseur d’Europe et, plus encore, un bâtisseur d’Humanité.
       Homme de culture, infatigable intellectuel doué d’un immense appétit de savoir, il rend à la France et à la Roumanie un inestimable service en aidant à leur rayonnement. Travaux littéraires sur la richesse du français, promotion de la littérature roumaine à travers la Francophonie, il n’a cessé d’ouvrir des chemins entre les peuples et les cultures, pour tisser des liens d’amitié, dont il est le premier exemple. Ainsi, peut-on le considérer comme un ouvrier de paix, titre qui a fait déjà sa gloire parmi mes confrères français.
       Ainsi, son æuvre générale est suffisamment impressionnante pour que j’estime infiniment son action au service de nos deux pays, sa grande culture et son inépuisable énergie à défendre les causes qui lui sont chères. »

       Le rigoureux et extrêmement exigent critique littéraire Paul VAN MELLE, Directeur de la revue – considérée comme une de référence – INEDIT NOUVEAU, apprécie comme suit C. F. :
       « M. Constantin FROSIN est sans doute l’un de ceux qui portent le plus haut dans nos pays d’Europe occidentale la culture millénaire de la Roumanie. Ses travaux, aux plans des essais littéraires et plus particulièrement encore de la traduction des grands écrivains roumains, classique et contemporains, sont pour nous une précieuse contribution à la construction de l’Europe nouvelle que nous souhaitons tous.
       Il est certain que cet homme de culture, qui n’a pas hésité à se faire ambassadeur de la francophonie en France et en d’autres pays de l’Union Européenne, constitue une chance pour l’avenir de nos nations respectives dans l’esprit d’une Europe multinationale et surtout multiculturelle, qui va représenter bientôt une puissance dont les autres continents devront tenir compte, dans une entente et une amitié que nous souhaitons tous.
       L’on comprendra certainement l’atout que peut constituer, pour tous les gens de culture, le travail acharné d’un Constantin FROSIN traduisant aussi bien EMINESCU que CARAGIALE et bien d’autres, et qui peut également, à l’inverse, traduire et faire connaître en Roumanie les cultures de toute la Francophonie.
Cet intellectuel exceptionnel pour la culture de nos deux pays, est important pour les chances d’adhésion de la Roumanie à l’Union Européenne. »

       Monsieur Joël CONTE, Président de l’Association < Rencontres Européennes >, Secrétaire Général de l’Académie Francophone, se prononce lui aussi en termes positifs sur l’activité de C. F. : « Depuis plusieurs années, j’ai l’honneur et le plaisir de côtoyer le Professeur Constantin FROSIN, et j’ai appris à découvrir un être exceptionnel, sachant représenter dignement les Lettres roumaines en Francophonie.
       Mon premier contact présageait déjà les futurs liens qui se sont mis en place par la suite. Le Festival-Colloque International de l’Enfant-Poète a eu lieu en avril 1996, dans la ville de Galati, chère à notre éminent Professeur, qui s’est chargé de l’organisation de cette remarquable manifestation culturelle qui a duré trois jours.
       Depuis sa production littéraire francophone - d’une richesse fantastique, à son activité poétique et littéraire de plus en plus étendue, il se positionne comme un bâtisseur de cette Europe, à laquelle nous aspirons tous, réunissant des cultures aussi différentes que complémentaires.
       La Roumanie a une chance inouïe de disposer de tels talents qui savent se mettre au service des grandes æuvres et des grands desseins.
       Dans ce contexte, j’apprécie les rapports entretenus avec le monde culturel roumain, avec le Professeur Constantin FROSIN – un parfait pédagogue et homme de culture, de même qu’un intellectuel accompli. »

       Le bien connu poète et éditeur Louis DELORME,Lauréat de l’Académie Française, de l’Académie Française de Dessin, et Officier de l’Ordre des Palmes Académiques, a lui aussi une très bonne opinion sur les résultats de l’activité de l’Homme de Lettres francophone C. F. : « Mon ami Constantin FROSIN collabore avec nos éditions depuis maintenant plusieurs années. Grâce à ce professeur, dont les mérites et les qualités en tant que traducteur, sont reconnus dans nombre de revues poétiques des pays francophones, nous avons pu éditer plusieurs ouvrages dont une petite anthologie des Poètes roumains du XX – e siècle.
       Constantin FROSIN nous a confié également plusieurs de ses ouvrages
(Du Non Sens au Paradoxe - essais, Pensez-vous français – méthode d’enseignement de notre langue, Après l’amour, à la belle étoile – volume de poèmes et nous le considérons, pour toutes ces productions, comme un grand ambassadeur de la francophonie en Roumanie. Ce pays est sans doute l’un des pays d’Europe qui a conservé avec la France des liens d’amitié privilégiés – au travers de nos langues respectives - et pour ma part, je me réjouirai grandement de voir un jour prochain, la Roumanie entrer dans la Communauté européenne, car je suis persuadé qu’alors, nos échanges culturels s’en trouveront renforcés.
       J’ai eu le grand honneur de présenter, en novembre dernier, les ouvrages de Constantin FROSIN, au centre Culturel de Roumanie à Paris, en sa présence, et
il a été accueilli avec beaucoup d’intérêt par les personnalités et le public présents. »

       René Bonnet de MURLIVE, extrêmement impressionné par les performances de C. FROSIN, parle de lui dans les termes suivants: « Chers Amis, je me permets de recommander à votre attention, les nombreux mérites de Monsieur Constantin FROSIN, l’une des plus éminentes personnalités de Roumanie, connue en France et dans toute la Francophonie.
       Véritable Ambassadeur des lettres roumaines, l’un des véritables bâtisseurs de l’Europe de demain, défenseur des valeurs contemporaines grâce aux efforts duquel la Roumanie sera admise au sein de l’Europe, un parfait homme de culture, intellectuel accompli qui a rendu et rend toujours des services à la France, à la Francophonie et à l’Europe.
       Cet esprit infatigable, qui jette sans cesse des ponts entre les peuples et les cultures afin de bâtir la paix et un monde meilleur
, mérite pleinement, de tous les points de vue et sous tous les rapports, vu ses mérites et son très impressionnant nombre d’ouvrages d’une qualité extrême, le titre prestigieux de (…). Je puis vous affirmer que le nom et les textes de Monsieur FROSIN sont unanimement appréciés par toutes les personnes qu’intéressent la Langue Française et la Francophonie.
       Nombre de revues publient ses articles et ses poèmes, l’Académie Francophone et l’Association Avenir de la Francophonie le comptent parmi leurs membres et l’on peut dire qu’
il est synonyme de la Roumanie Francophone et Francophile. »

       Monsieur Jean DUTOURD, membre de l’Académie Française, écrivait, en 2002, à C. Frosin: « Rassurez-vous, votre nom n’est pas du tout inconnu à l’Académie Française. Nous savons que nous avons en vous un ami et surtout un homme qui manie la langue française comme s’il était de chez nous. A vous, Cher Monsieur, mes sentiments respectueux et dévoués. »

       Bernard QUEMADA, du Conseil Supérieur de la Langue Française, envoyait le message suivant à C. F. en 1998 : « Monsieur et cher collègue, j’ai bien reçu votre lettre en date du 19 décembre dernier avec la plaquette de poèmes qui l’accompagnait et dont je vous remercie.
       Je suis très sensible à l’importance et à la qualité de vos nombreux travaux, qui vous ont déjà valu plusieurs distinctions et récompenses. De même, j’apprécie beaucoup tous les efforts que vous faîtes en faveur de la langue et de la culture française en Roumanie, et je vous en félicite. »

       Le grand francophone CONSTANTIN CRIŞAN, celui qui a coordonné C. F. dans ses demarches de s’intégrer en Francophonie, pensait (à la vive voix de sa plume alerte et éveillée) ce qui suit (dans la dédicace d’un volume): <A l’Ami Constantin FROSIN, intellectuel profond, authentique et fécond, au poète et au Compagnon –de Ligue, avec toute mon affection, cet essai de philosophie comparée, dans un monde chaotique, à l’envers, non pas autre que celui où je l’avais conçu. Je reste confiant qu’il saura faire son chemin mieux que Constantin CRIŞAN, voire mieux que le Grand (Pierre) Emmanuel. A Bucarest, le 28 février 1991.>

       Le Dictionnaire Général de la Littérature Roumaine des origines à nos jours (oeuvre de l’Académiei Roumaine), écrit sur la Thèse de doctorat du Professeur C. F., Schimbarea limbii nu înseamnă schimbarea la faţă (2000): < (...) il aborde une question extrêmement subtile – appartenence ou non appartenence à la culture roumaine des écrivains qui écrivent en une autre langue. L’ouvrage débat deux aspects: la manière dont un écrivain se situe entre le roumain et sa langue d’adoption (Emil Cioran, Mircea Eliade, Eugen Ionescu sont les auteurs autour desquels est tentée la démonstration) et dans quelle mesure et comment une certaine écriture est capable de conserver les symptômes de l’appartenence d’un écrivain à un certain groupe éthnique. C. F. paraît adopter la thèse de G. Ibrăileanu concernant la composition inaliénable du spécifique national. Il partage l’idée que ce qui est valable pour les débuts de notre littérature doit être accepté de nos jours aussi. A admettre qu’il existe une littérature roumaine en langue slavone, grecque ou latine, il faudrait admettre l’existence d’une littérature roumaine en français, anglais, espagnol, etc. >

       Sur le livre du Professeur C. F.: La Traduction entre Mythe et Réalité, le redoutable Paul VAN MELLE écrit « L’essai est un art difficile, car il oscille toujours entre science et plaidoyer. Un spécialiste de cette ambiguïté, Constantin FROSIN, après une somme de traductions du roumain en français et vice-versa, des dictionnaires spécialisés et des recueils de poèmes, publie cette fois La Traduction entre Mythe et Réalité – un ensemble d’articles, de cours, d’exercices pratiques et même de polémiques plutôt sévères. En particulier (c’est le côté plaidoyer), il s’en prend à d’autres traducteurs, pas moins que Ionesco, par exemple. Par ailleurs, il fait de ce livre une véritable „défense et illustration de la langue française”, dans la fidélité à du Bellay, partant de l’utile rappel que le roumain est une langue latine. Par ailleurs, il intègre deux contributions belges, l’une de Françoise WUILMART, traductrice bien connue, l’autre de votre serviteur.
       Il ne cache pas non plus les difficultés et les pièges de l’auto traduction. Tout en considérant que traduire est le meilleur moyen de valorisation des trésors de la spiritualité roumaine et de leur restitution à l’universalité. Ce qui d’ailleurs est valable pour toute langue de la planète ! Enfin, il termine par des morceaux choisis d’auteurs roumains classiques et contemporains.”

       Il faut souligner que le Dictionnaire d’Argot Français-Roumain, le premier de ce genre en Roumanie, auteur - Constantin FROSIN, figure dans la Bibliographie des Techniques de traduction fondamentale de la Faculté de LMA (Langues Modernes Appliquées) de l’Université de Cluj. Voilà ce que note la revue NUOVE LETTERE (Naples) à ce sujet: « L’autore, professore din Lingua e letteratura francese all’Università di Galati, ha costruito questo dizionario basandosi sulla sua attività di traduttore dal francese in rumeno di autori classici comme Balzac, Hugo, Zola, Céline, Queneau. Come lui stesso scrive nell’introduzione, è una „modeste tentative de réunir les traits les plus saillants de l’argot français, d’enregimenter celui-ci parmi les connaissances de langue française qu’on peut offrir au lecteur roumain, est loin d’être un tableau exhaustif”. Esso raccoglie anché espressioni che sono pressocché intraducibili in francese e che Constantin FROSIN ha cercato di rendere nella sua lingua, il rumeno, salvandone la freschezza. „ L’argot a cessé d’être un phénomène de langue, pour devenir une langue phénomènale”. Compie un lavoro non solo di traduzione, ma anché di interpretazione e in alcuni casi, di invenzione linguistica in ossequio alla concezione che una lingua si inventa continuamente. E più che un dizionario, il frutto din una riflessione accurata e che non si rivolge solo agli specialisti ma anché a chi ha voglia di conoscere la libertà di una lingua. »

       La même revue NUOVE LETTERE écrit également sur le cours magistral de Constantin FROSIN: Techniques et art de la Traduction, éd. de la Fondation Universitaire "Dunărea de Jos", Galaţi, 2000: « Questo libro del Professore FROSIN, docente all’Università di Galati, in Romania, di Lingua e Letteratura francese, raccoglie la sua esperienza di traduttore di poeti e scrittori, dal rumeno al francese, o viceversa. Letterati, volendo citare solo i più noti come MIHAI EMINESCU, EUGEN SIMION, CELINE. Il testo non è solo un lavoro sulla technica della Traduzione, che l’autore pensa come „ une aspiration à rendre la beauté et la grandeur de l’oeuvre et la clamée nécessité de l’adapter au goût, aux coutumes de la société à laquelle elle est destinée, ou d’en faire tout simplement un instrument au service de ses propres intérêts, d’autre part, le résultat, souvent paraphrase, imitation, remaniement, adaptation, un travail visant à satisfaire les plus diverses exigences, donc elle est loin d’être véhicule et assemblage de diverses conceptions du langage et de son pouvoir...”. Egli pone molte questioni fondamentali circa la tecnica o la pratica, la didattica e la pedagogia della traduzione e la libertà della/dalla interpretazione, racogliendo anche alcuni esempi pratici. Dal suo punto di vista, „le traducteur devient un proche collaborateur de l’auteur, un co-auteur de l’oeuvre dans la langue cible, le principal agent de l’expansion sémiotique de l’oeuvre

       Dans une étude extrêmement documentée et rigoureuse: LA TRADUCTION - UN DES BEAUX ARTS, le critique Paul VAN MELLE cite Constantin FROSIN: « D’autres font de même, comme la poète argentine Laura Salmoiraghi ou le poète et éditeur déjà cité Jean-Paul MESTAS. Deux cas plus parlants encore, car ils semblent ne pas se connaître, tout en habitant le même pays (bientôt européen), mais l’un à l’Est, l’autre à l’Ouest, les traducteurs roumains Manolita Dragomir-Filimonescu, qui vient de sortir une anthologie du poète français Michel Bénard, et Constantin FROSIN, qui traduit sans cesse des classiques de son pays aussi bien que des contemporains, ainsi que des études sur la traduction ou sur la poésie. » (in : GRAI, no. 6/2003, p. 14).

       Le même critique et directeur de revue recense également l’ouvrage PENSEZ-VOUS FRANÇAIS ?: « Sous un titre apparemment étrange, le bon Roumain Constantin FROSIN propose aux jeunes un ABC, non pour leur apprendre à parler le sabir minimal des touristes, mais en effet pour tenter de leur permettre une richesse digne de leur propre langue. Il utilise, pour cela, le procédé bien connu des petits dialogues, mais il y parle littérature, humour et même dérision, sans pour autant oublier la pédagogie. Pour ceux qui auront surmonté les premières difficultés, il publie des études à titre d’exemples, sur le rire de Cioran, et sur le classique trop méconnu CARAGIALE, dont on ne connaît, en effet, de ce côté-ci de l’Europe, que sa pièce « Une Lettre perdue ». Etudes enfin sur la traduction et la valeur de l’argot français en littérature. Décidément, je persiste et je signe : je préfère le Professeur au poète. »

       La déjà citée Catherine BANKHEAD (la Directrice de la revue Art et Poésie de Touraine), se réfère elle aussi à cet ouvrage du Professeur C. F., dans les termes suivants: « Des pensées profondes, humanistes, sous l’apparence facile d’une parole sans excès, accessible à tous : une belle leçon de clarté pour certains poètes nés francophones, sans avoir conscience de ce bonheur.
       A rappeler, du même auteur, toujours au Brontosaure, Pensez-vous français ? Réflexions sur notre langue, sous formes d’études et de leçons. Pour les professeurs comme pour les élèves, avec des points de vue originaux » (in : Art et Poésie de Touraine, no. 171/hiver 2002).

       Une dédicace du Poète René Bonnet de MURLIVE peut élucider elle aussi certains aspects : « Au Professeur d’Université Constantin FROSIN, Universitaire Eminent, Premier Francophone de Roumanie, dont Le Français est une autre Langue Maternelle, original Poète, amoureux de la France et de la Langue Française : il revient d’hériter de la place du savant Dorat, l’érudit de la Pléiade » (in : Préface à l’anthologie La Brigade, éd. Arcam, 2002).

       Voilà aussi quelques pensées de Louis DELORME : « Constantin FROSIN, connu dans les milieux poétiques pour les traductions des æuvres de ses contemporains, nous livre là tout l’éventail de sa palette, nous offre toutes les facettes de son talent. Nous pouvons découvrir dans cet ouvrage des articles polémiques, une importante réflexion sur le rôle et les mérites du traducteur, sur ses limites aussi, des hommages aux poètes, sculpteurs et peintre de son pays (notamment EMINESCU, BRANCUSI), des traductions de plusieurs contes de CARAGIALE, etc.
       (…) Hommage donc au génie roumain qui a fourni à l’humanité et à l’humanisme de grandes gloires dans les domaines de la culture, de l’art et de la science.
       Le français, pour les Roumains, est comme une seconde langue
. Une affinité intellectuelle lie nos deux peuples et cela remonte loin dans le temps, sans doute parce que le latin est notre héritage commun, mais aussi parce que des artistes, des intellectuels des deux pays ont æuvré dans le passé pour le rapprochement de nos deux cultures. La démarche de Constantin FROSIN s’inscrit dans cette tradition. Qu’il en soit remercié ! » (in : Le Journal à Sajat, no. 59/septembre 2002).

       Constantin FROSIN a été récemment invité à faire partie du Conseil de rédaction de l’Association Internationale l’Europe Plurilingue, aux côtés de noms illustres, comme : Jaakoo A. AHOKAS, Professeur émérite, Finlande; Jens Kr. ANDERSEN, Kobenhavns Universitet, Danemark; Penelope CALLIABETSOU, Université d’Athènes, Grèce; Joao CORREA-CARDOZO, Université de Coïmbra, Portugal; Rose-Marie FRANCOISEcrivain, Liège, Belgique; Brigitte GABBAI, Université Paris XII, France; Jacob KORNBECK, Traducteur près la Commission Européenne, Bruxelles; Santiago MONTOBBIO, Ecrivain, Barcelone, Espagnie; Norberto Luis ROMERO, Ecrivain, Madrid, Espagnie; Gerard M. WILLEMS, Facultet Educatie Nijmegen, Pays Bas; Angelo BONAVITA, Guide-Interprète et Peintre, Italie.A remarquer que la Présidente de cette Association, Madame Nadine DORMOY, est Professeur à la Sorbone.
       Certes, les ouvrages de Constantin FROSIN sont inclus dans la Bibliographie de la Bibliotèque Nationale de France, comme ceux qu’il a traduits en français.

       Vu la sobriété et la discrétion spécifique du domaine universitaire, la présentation de Constantin FROSIN en tant que Professeur d’Université, prend fin ici. Quelques couvertures de ses ouvrages, édités en France, vous sont offertes dans les pages suivantes.

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  © 2006   Constantin FROSIN - Biographie, Ecrivain, Professeur d’Université, Traducteur, Publiciste Francophone